poèmes d'un temps lointain

Il fut un temps où j'étais amoureux d'une fille et je lui est écrit des poèmes. Je me suis pris un vent et maintenant c'est un peu une petite soeur pour moi ^^ voilà le premier :

Je me suis décidé à t'écrire,
Car aujourd'hui des chose m'ont fait souffrir.
Même si peut-être tu ne le liras jamais,
Sache que ce que j'écris je le pensais.

Tes chaussettes m'ont d'abord fait rigoler,
Puis elles m'ont fait craquer.
Je ne dirais seulement que tu étais sublime,
Car je suis à court de rimes.

L'après-midi me parut une seconde,
Lorsque le soir je t'ais retrouvé;
Car n'étant vraiment pas blonde,
Nous avons longuement discuté.

Oh ce n'était pas une grande discussion,
Car après les chevaux, j'étais à court de munitions.
Mais le simple fait de te voir,
Me rendit euphorique comme tu ne peux pas savoir.

Au self, j'ai retrouvé trois sangliers,
Qui n'aimant que les coups tordus et les mêlées
M'ont montré le contraste impossible
Avec tes yeux si sublimes

Voilà Laulau,
Ce que je voulais ce soir en quelques mots.
J'essayerais de recommencer,
Si mon esprit et mon humeur à nouveau apparaissent inspirés.

Ce jour n'est marqué que par mon corps,
Car celui-ci m'a fait souffrir bien plus encore,
Que le goupil qui joue avec toi,
Mais surtout se joue de moi.

Je l'avais pris pour mon ami,
Mais il est goupil et je suis corbeau.
Forcément, cela ne peut aller que de mal en pis !
Il ruse alors que de toi je suis accro.

Vos enlacements me font,
Comme l'effet dans l'aile du plomb.
Son seul défaut de toujours,
Est de papilloner entre deux amours.

J'ai relu mon écrit sur ta beauté,
Pour finalement te découvrir en tout honnêteté,
L'ange de l'espérance après la déchéance.
C'est pour moi, je crois, une grande chance.

Je te sais capable de te voir en remplaçante.
Mais chaque personnalité étant différente,
Je ne saurais dire autre chose que je t'aime,
Car tu es toit et tu vis sans flemme.

Je ne t'es pas écrit en cette fin de semaine.
Je m'en excuse car j'ai beaucoup pensé à toi.
Ta "non-présence" m'a fait de la peine,
Mais dès le retour, mon premier bonheur fut ta voix.

Même si tu ne le vois pas,
Je me délecte de tout ce qui fait ton toi.
Biologie, Anglais et un deuxième bonheur,
Lorsque ta main m'effleure.

Pour finir la journée, à côté de la perm,
Je t'ai vu grâce à moi rire ferme.
Je me suis tellement senti euphorique,
Que j'en est alors oublié mon arithmétique !

Pourtant, alors que je commençais ce poème,
Tu me fis une surprise du même thème.
J'ai lu ton recueil avec le plus grand mal,
Car des ouistitis de leur conversation menaient le bal. (de mes pensées)

J'ai trouvé une écriture qui te ressemble.
La violence, la passion, le doute,
La douceur, la tendresse, je tremble,
L'ignorance, la déception, et de mes larmes je goutte.

Je n'ai donc pas tout lu, j'aurais voulu,
Mais puisque tu n'es pas là avec moi,
Morphée me berce et je ne vois plus que des nues.
Demain, un autre jour où tes yeux et ta voix,

Me feront de nouveau chavirer.
Car grâce à toi j'ai trouvé,
Une nouvelle façon de définir "aimer",
Parce que je veux pouvoir aller plus loin que jamais.

JE T'AIME

Prenons cette journée à l'envers,
Car dans mes idées je me perd.
Après manger, j'ai pu passer du temps avec toi,
Malgré un certain désarroi.

En effet j'aimerai un jour te parler,
Seul à seul car je veux te connaître mieux,
Et peut-être te montrer à quel point je peux t'aimer.
Je dois encore te parler de tes yeux.

ce regard,
Qui me rend hagard,
Je crois que je ne pourrai jamais l'oublier,
Malgré les années qui vont passer.

j'ai appris,
Par un ami,
Que pendant les longues heures de permanence,
Tu m'observais par derrière avec insistance.

Racontars ou vérité ?
Qu'importe car au foyer,
Les quelques instants de tête à tête m'ont paru une éternité.
Ainsi, je me dis, qu'il peut y avoir une faible possibilité,
D'une réciprocité ?

Il est vrai qu'un "couple" n'est pas parfait,
Ainsi, il existe des différences,
Mais j'ai du mal à accepter ton intolérance,
Envers les gens qui t'ont fait souffrir à l'excès.

Je sais, c'est une hyperbole,
mais je prône la parole,
Car on est plus vite fixé,
Sur le pourquoi du comment de l'action passée.

malgré cette critique, sache que les défauts
Sont là pour pimenter la vie.
Ainsi on peut utiliser les mots,
Pour de nouveau être réunis.

Je pense à toi,
Comme toujours,
Avec la foi,
D'être un jour liés par l'amour !

PS : Tes câlins me semblent de plus en plus long et chaleureux.
Ainsi je me dis que tu voudrais partager quelque chose,
Qui serait secret et douloureux.
Je serais toujours là pour t'écouter; moi, le garçon des proses

en fait en relisant ces textes je me dis que j'ai déjà beaucoup changer dans l'intervalle de temps entre ce moment et l'écriture de ces "poèmes".
Il y a des trucs du genre l'espérance qui me paraissent maintenant dangereux ou des expressions qui me rappellent à quel point je trouvais pas mes mots ^^

Ce poème est le dernier écrit pour elle. Je l'ai écrit après avoir découvert qu'un autre mec voulais sortir avec cette fille et je pensais que c'était foutu pour moi (ce qui finalement était pas franchement faux :p ).
Je me suis donc mis à déprimer puis pleurer, puis à écrire ce poème :

Ce soir la dépression était au rendez-vous,
Et rien ne pouvait l'arrêter.
En effet, avant de manger, j'ai pleuré.
Et mon image de métalleux en a prit un coup.

Pourquoi des larmes ?
Pour rien ou plutôt pour tout.
Car aujourd'hui j'ai perdu mes armes,
Celles qui m'aidaient contre le temps mou.

au moment où l'on s'est parlé,
Je me suis senti comme détruit,
Et j'ai monté l'escalier.
Et j'ai pleuré sans répit.

Je me disais que ça ne marcherait plus,
Que tout était foutu,
Car l'ombre de l'autre que tu aimais est à l'affut.
Il passe derrière tes prétendants et les tue.

Moi je ne suis que blessé,
Car je ne t'ais toujours pas demandé.
c'est pour ça que je me laissait aller,
Au foyer.

Quand j'ai vu les autres partir,
Et toi arriver, il fallait vite choisir.
J'ai donc pris la raison de la parole,
Qui me fit l'effet de plusieurs litres d'alcool.

Chacun de tes mots avec Marion me transperçait,
Mais dès son départ, je me réconfortais.
C'est alors que tu m'as donné une goutte de courage,
Afin de te donner ces quelques pages.

Lors de rentrée vers les cieux,
J'ai compris que je m'arrêtais avant toi,
Car le plus pur des deux anges, c'est certainement le moins vieux.
Je ne suis plus qu'un "ailé" déchu qui cherche la foi.

Pour ma part, je le dis* encore une dernière fois, *(peut-être)
Car les mathématiques et la nature ne veulent pas,
Que je m'engage ailleurs que dans les "unreal aims",
Je t'aime.

Je ne sais pas si tu t'en doutais,
Mais voilà une preuve que l'on ne connaît quelqu'un,
Qu'après lui avoir parlé.
Je te l'avias dit, j'ai beaucoup de cicatrices non-refermées.

Une de plus, une de moins, je m'y ferais.
Seulement je préfèrerai que l'on reste amis,
Ne serait-ce que pour ne pas se faire d'ennuis.
Toutefois, mon bonheur, ce serait mon coeur dans le tien,
Et ton coeur dans le mien.

JE T'AIMERAI ENCORE LONGTEMPS

PS : Ne pleure plus, ça va gâcher le mascara ^^

.......... Deux mois plus tard j'étais en train de préparer un nouveau vent bien frais qui coupe et qui m'a poignardé mais ça je n'est pas d'éléments artistiques à ajouter pour cette autre histoire du père castor .... euh du père Spawn ^^